Célébrons ensemble 40 années dédiées à l'art chorégraphique sous toutes ses formes !
 
 
 
Merci beaucoup pour toutes les belles rencontres que vous nous avez fait vivre avec mes élèves !!! Quel moment fabuleux avec Philippe Lafeuille ! Quelle rencontre poétique, humaine et généreuse avec Yohann Bourgeois !!! Merci pour ces points de suspension qui donne du sens à la vie !!!

Claire-Marie D.

Bonjour à vous Et mille mercis pour les découvertes nombreuses et si éclectiques.  Un vrai bonheur d être abonné chaque année. Bon anniversaire la Team à chacune et chacun. À bientôt !
 
Stéphane, un anonyme régulier 
Bonjour,
La Maison de la Danse, c’est un lieu magique qui a marqué toute ma vie professionnelle depuis les Biennales Aquarela Do Brasil en 1996 jusqu’au lancement de Numéridanse, de la Biennale « Les Routes de la Soie » à la création du Festival La Maison Sens Dessus-Dessous. C’est aussi une équipe exceptionnelle qui accueille chaque visiteur comme « à la maison » et parmi laquelle j’ai le plaisir de m’être fait de vrais amis qui ont suivi mon parcours comme j’ai suivi le leur, avec un œil nostalgique et amical de ces années de feu… chorégraphique. Enfin ce sont des artistes, danseurs et circassiens, devenus des compagnons de route : Mourad Merzouki bien-sûr mais aussi Alonzo King, Denise Namura, La Horde, Yoann Bourgeois, Béatrice Massin et Abou Lagraa… Des racines lyonnaises (comme moi) mais surtout une sacrée fenêtre sur le monde (comme j’aime) ! Très belle anniversaire à la Maison, « notre » Maison à toutes et tous !
 
Alexandre C.
Une danse
 
les mains dansent
le long d’un contour imaginaire
les mains dansent et se suivent
et se croisent et se répondent
les mains dansent dansent
 
un buste doucement se dessine
et les mains le parcourent
et leur danse révèle un être bien caché dans la matière inerte
 
amour charnel entre l’artiste et l’oeuvre
dans de tendres caresses
dans la beauté du geste et la beauté de l’oeuvre
le rêve du sculpteur se cristallise ici
 
oeuvre témoin oeuvre vivante oeuvre éternelle
toute enveloppée de danse
beauté en mouvement qui s’est solidifiée
 
et l’on suivra longtemps sur la peau des statues
la trace des dix doigts la spirale du geste
et l’on devinera quelle chorégraphie
a donné tant de vie à ce morceau de glaise
 
Jacques-Philippe S.
 
Bonjour,
le dernier spectacle que j'ai vu est Vertikal de Mourad Merzouki. C'était magique, moderne, dynamique, gracieux. Un moment suspendu... Merci de nous donner l'occasion de voir de belles choses. Ça fait du bien.
 
Martine F.
Bonjour,
En presque une vingtaine d'années d'abonnement (déjà !), les émotions de spectatrice sont nombreuses... c'est pour ça que la Maison de la danse s'est glissée dans mon premier roman, La voleuse, qui met en scène "mon" Lyon. La présentation de saison a donné lieu à une rencontre de mes personnages. :-) 
Amicalement.
 
Norlane D.
Je prends un abonnement à la M de la D depuis longtemps. Il y a quelques années, j'ai assisté à un spectacle intitulé "Babel" dont j'ai oublié le nom du créateur. Pendant tout le temps, je suis resté pris par ce que je voyais et ce que j'entendais, les musiciens et le chanteur étaient sur scène. Sensation de perfection, j'aurais voulu que cela ne s'arrête jamais. Et quand tout s'est arrêté, ce fut comme une douleur. Voilà.
 
Gilbert J.
Cette année la maison de la danse fêtait ses 40 ans, et cela fait 20 ans que je découvert ce lieu... En 2000, je ne pensais certainement pas rester si fidèle à cette maison. Il faut croire que l'on s'y sent bien, comme chez soi. Merci, pour ces moments magiques, fantastiques. Il y a eu parfois des déceptions, mais franchement, elles sont rares. Le choix est tellement éclectique que tout le monde peut se retrouver. Je me suis même parfois senti au milieu des artistes sur scène, j'ai même eu des apnées, la sensation de voler, voltiger au point d'avoir une sensation d'épuisement. Merci.
 
Et qu'elle joie de faire partager ces émotions à mes enfants. Ma première rencontre avec la danse est un souvenir inoubliable, le chorégraphe était Philippe Decouflé et c'était la cérémonie de clôture des Jeux Olympique d'Albertville. Puis plus rien, jusqu'à ce qu'on me parle de cette salle de spectacle, dirigé à l'époque par Guy Darmet.
Depuis que de souvenirs :
- en 2000 mon premier spectacle avec « The sound of ocean » de U Théatre durant la biennale de la Route de la Soie, nous étions au premier rang, au centre. C'était magistral, nous avons même reçu des copeaux provenant des bâtons servant à frapper les immenses tambours. Mais aussi la poésie du Cirque Plume (nous avons vu depuis tout leurs spectacles comme pour beaucoup d'autres compagnies)
- en 2001, je citerai le Ballet Trockadero de Monte-Carlo et je découvre qu'on peut s'amuser, rire devant un spectacle de danse.
- en 2002, le merveilleux spectacle Slava's snowshow. Spectacle inoubliable que j'ai eu la joie de le faire découvrir à mes enfants dans une autre salle. Sans oublier la comédie musicale « Car man » de Matthew Bourne's, le dynamique spectacle « Bataille heureuse », et le monde fantastique de Momix avec « Opus Cactus » (compagnie que je rêve de faire découvrir à mes enfants) font partie de mes belles rencontres cette année-là.
- en 2003, je découvre un hip-hop poétique avec la compagnie Kafig, les rythmes endiablés des Gumboots.
- en 2004, c'est un monde surréaliste avec Axin Nikolais puis James Thiérrée pour « La symphonie du hanneton ». J'ai aussi voltigé avec la compagnie Les Arts Sauts pour « Ola Kala ».
- en 2005, la chaleur avec la comédie musicale Bagdad Café.
- en 2006, la jeunesse et l'énergie avec les jeunes danseurs de la compagnie Josette Baiz. Le spectacle déjanté de Chicos Manbo.
- en 2007, j'étais de la première mondiale de la Comédie musicale de Kirikou (nous ressentions comme les artistes de l'impatience et de l'inquiétude mais une fois le rideau tombé à la fin du spectacle que du bonheur d'avoir entendu leurs cris de joie). Joie aussi de retrouver Philippe Decouflé et du hip-hop avec la découverte des Pokemon Crew.
- en 2008 c'est la rencontre avec les parents de J. Thiérée avec le Cirque Invisible.
- en 2009 Aurélien Bory joue avec les apparitions et les disparition, de même pour les 7 nains dans leur mine d'or de Blanche-Neige du ballet Preljocaj.
- en 2010 l'improbable Système Castafiore
- en 2011 l'incroyable danse d'Aurélien Bory avec un robot, les rythmes endiablés des Tap Dogs
- en 2012 c'est la découverte des 7 doigts de la main
- en 2013 des cygnes dansent avec Luc Petton, la joyeuse équipe des Tistics avec les Franglaises, le dynamique cirque Eloize
- en 2014 les ombres chonises avec Shadowland de Pilobolus,
- en 2015 on s'interroge sur le futur avec Robot ! De Blanca Li.
- en 2016 on retient son souffle avec la compagnie XY, on s'interroge une nouvelle fois avec Systeme Castafiore avec la théorie des prodiges
- en 2017 Cirkus Cirkör dans Limits
- en 2018 l'énergie de Tie Break avec Lobby
- en 2019 le monde virtuel de la compagnie Gilles Jobin & ArtanimVR I, le lunimeux hip hop de Golden Stage Tour avec Futurisme.
Et nous retrouvons, cette fois en famille, la percutante compagnie Stomp.
Simplement merci pour toutes ses évasions. J'ai vu bientôt 150 spectacles, non, 1 de moins je l'avoue, m'être endormi une fois, une seule fois, suite à une journée épuisante mais je tairai le non du spectacle.
 
Stéphane D.
‌‌Bonjour à vous,
 
Abonnée fidèle de la maison de la danse au cours de ces décennies passées, j'extraie quelques souvenirs parmi les innombrables émotions ressenties dans ces murs, partagées avec mes filles, mon époux ou des amies.
 
- Un grand cadeau offert par Guy Darmet lors des 30 ans de la Maison de la Danse a été la possibilité pour nous spectateur de danser sur la scène de la Maison de la Danse entourée de chorégraphes professionnels. Une émotion intense et reçue vraiment comme un cadeau pour moi, spectatrice.
- Des découvertes étonnantes lors d'une journée autour de la danse et du numérique avec un conte racontée en quelques tableaux où deux danseurs intervenaient virtuellement pour nous raconter leur rencontre autour d'une maison. Emotion poétique, délicatesse du propos et du graphisme, et prouesse technologique. Belle découverte.
- Un ressenti très fort lors du spectacle d'une chorégraphe rwandaise (dont je n'ai pas mémorisé le nom, j'en suis désolée) ) qui présentait sa création qui alliait la narration, la danse, la musique live et la force de l'interprétation d'un drame tellement poignant et tripal qu'il nous a fait vivre des sensations terribles de peurs de tirs de mitraillettes ou de cris des assaillants, de forces humaines trouvées au plus profond de soi, et d'espoirs et de chaleur humaine dans les moments de respiration. Un spectacle troublant, dérangeant, mais tellement nécessaire.
- Une identification très forte au spectacle de José Montalvo, "Carmen" : on est toutes des Carmens : des images, une force, une ouverture vers des questionnements multiples, une énergie, du sens dans ce spectacle qui m'a complètement enthousiasmé. Tellement d'émotions, et de sensations qui nous ont nourri tout au long de ces années.
 
Belle continuation à la Maison de la Danse, et au plaisir d'y revoir des spectacles le plus rapidement possible. Je dis cela avec beaucoup d'attachement à ce théâtre, car c'est dans cette salle, du temps où Marcel Maréchal dirigeait cet établissement, que j'ai eu ma première grande émotion au théâtre avec "Le Capitaine Fracasse". Cela prend une dimension particulière aujourd'hui, où Marcel Maréchal vient de nous quitter.
 
Je souhaite une très bel anniversaire à la Maison de la Danse.
 
Isabelle P.
Bonjour,
 
Mon souvenir, lié à la Maison de la Danse, est en lien avec ma sœur Ewa, qui est venue me rendre visite à Lyon en 2010. Je l'ai invité voir le spectacle "Nuit Blanche" d'Esteban Moreno et Claudia Codega. Elle était vraiment émerveillée et ce moment l'a inspiré pour peindre le tableau ci-dessous.
 
Bien cordialement,
Iwona W.
Septembre 1982, je rentre dans cette belle maison qui se trouvait à la Croix-Rousse, J'ai 10 ans, je ne sais pas encore que je viens de rentrer dans une belle maison que je ne vais plus jamais quitter et que même 38 ans après j'y suis encore et que je ne peux pas me passer de cette maison.
Des souvenirs j'en ai tellement, des sublimes spectacles et des rencontre magiques . Il est dur de choisir, mais comme mes parents m'ont fait découvrir les spectacles de Maurice BEJART à l'age de 10 ans. je vais parler de mes 2 chocs grâce à la Maison de la Danse. 1999 le choc La maison de la danse programme le presbytère au festival de Fourvière . Pendant tout le spectacle j'admire la beauté des corps,la chorégraphie épurée et sublime, la musique de Queen que j'adore, l'histoire tellement triste mais tellement sublime . Que d'émotion me travèrse ce soir là . je n'ai plus envie que le Présbytères'arrête. Heureusement l'année suivante la Maison de la danse reprogramme le Présbytère à la Maison de la danse. Et là c'est le bonheur...
 
Cette année là, ce fut le deuxième choc, Guy Darmet propose à l'association Friends l'association des Amis de la Maison de la Danse, dont je fais partie d'organiser un repas conférence avec "le grand Maurice BEJART" . Cette soirée est gravée Marion LISSACà jamais dans ma mémoire. Je vais rencontrer mon héro, mon chorégraphe qui me fait rêver, vibrer, pleurer , rire depuis que j'ai 10 ans . Une soirée parfaite , j'ai juste envie que le monde s'arrête. Je rencontre un homme passionnant , adorable, généreux
 
Cette soirée n'aurait jamais été possible sans la maison de la danse et sans Guy Darmet.
Pour ça un Immense MERCI et bonne continuation et bon anniversaire la Maison de la danse, je t'aime
 
Marion L.
40 Ans, bel âge soulignant un passé glorieux et présageant d'un bel avenir ; Bon Anniversaire précieuse Maison de la Danse où se rencontrent de talentueux artistes rendant des spectateurs heureux.
 
Christiane et Alic C.
Je souhaite un très Joyeux anniversaire à LA MAISON DE LA DANSE pour ses 40 ans d'existence ! Merci à elle pour tout ce qu'elle m'a apporté et pour avoir contribué à ce que je suis aujourd hui : Abdou N'Gom
Lieu
Maison de la Danse
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